Psychothérapie
"Le bonheur est un rêve d’enfant accompli à l’âge adulte" (Sigmund Freud)
La prise en charge des enfants est très spécifique car elle doit toujours se référer à une étape de son développement. Les aptitudes de l’enfant ne sont pas les mêmes que celles des adultes, elles ne sont pas non plus les mêmes aux différents âges de l’enfance.
Les périodes conflictuelles de l’enfant sont fréquentes et souvent anodines, le développement en lui-même est une succession de « crises », mais une aide et un soutien par une personne tierce et neutre telle que le psychologue est souvent très bénéfique : elle permet de dédramatiser, de déculpabiliser et d’aller de l’avant.
★ Trouble du comportement (inhibition, hyperactivité)
★ Trouble de l'attention, de la concentration.
★ Trouble des apprentissages et troubles « dys ».
★ Opposition, agressivité, violence.
★ Difficultés scolaires.
★ Trouble du langage.
★ Problème d'énurésie, d’encoprésie, de sommeil.
★ Angoisses, peur du noir...
★ Phobies scolaires ou autres phobies.
★ Scarifications.
★ Conflits dans la fratrie, rivalité, jalousie, arrivée d’un enfant.
★ Handicaps légers, retard de développement.
★ Précocité intellectuelle et « haut-potentiel ».
★ Difficultés à s’orienter dans la scolarité.
★ Divorce des parents ou conflits familiaux.
★ Difficultés sociales, d’intégration et d’adaptation.
★ Tristesse.
★ Anxiété.
★ Somatisations.
Dans le cadre de la prise en charge des enfants, nous pouvons travailler avec différents outils et supports ludiques : parole, dessins, jeux, peinture, terre etc. Ces outils permettent à l’enfant d’exprimer ses difficultés autrement que par la parole, souvent peu aisée à cet âge.
Les outils de thérapies brèves sont aussi utilisés: thérapie orientée solution et/ou thérapie comportementale et cognitive (ACT).
Le point est régulièrement fait avec les parents, certains entretiens peuvent même parfois être familiaux si le besoin se fait ressentir.
Même dans la prise en charge des enfants, le secret professionnel est de mise : véritable socle indispensable à la réussite de la thérapie, l’enfant doit savoir que ce qu’il dit reste dans le cadre de la relation de soins (sauf événement grave qui permettrait la levée du secret professionnel).